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Écho de Femmes

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Re-pause Alimentaire

C’est le quatrième jour de ma deuxième pause alimentaire.

J’ai commencé par une journée légumes et fruits : asperges, avocat et pêche blanche.

Je suis seule chez moi, après un temps familial dense, où malgré les bons repas, les restaurants et le plaisir d’être ensemble je n’ai pas repris de poids.

Je remarque que la dernière semaine, j’avais augmenté les quantités et j’étais plus attirée par les goûts sucrés.

 

Ce que j’ai gardé de la pause précédente, c’est l’importance de rester en présence face à la nourriture, d’être dans le plaisir, plaisir de choisir mes aliments, plaisir de cuisiner, plaisir de savourer, et de rester dans le simple, le facile.

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Écouter la vie

Depuis quelques mois, au fil de l’accompagnement de Michael, j’expérimente que la vie a une intention pour moi, que lorsque j’arrive à l’entendre, je suis sur MA route.

Mon travail est de rester attentive, de regarder, d’entendre, de sentir autour de moi, un peu comme en voiture lorsque je suis perdue et que je me mets à l’affût du prochain panneau indicateur.

Souvent j’ai besoin de nombreuses répétitions, et la vie est patience avec moi, elle me montre encore et encore ma direction.

Ce matin je tire deux cartes du tarot zen d’Osho, pour éclairer ma journée.

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Passage vers plus de proximité ?

Un peu absente, je feuillette l’agenda Rêv’Elles, je lis : « Vous êtes une ouverture par laquelle l’univers se regarde et s’explore lui-même. »

Qu’est-ce que j’ai appris de ma journée d’hier ?

 

J’ai eu plaisir à retrouver ma maison propre, rangée, silencieuse. Très heureuse de recevoir ma fille et sa petite famille, je savoure ces moments de partage, de proximité.

Je remarque que porter mon petit-fils, être avec lui au sol, le sortir de son lit le matin, accentuent ma douleur au bas du dos. J’ai pris rdv avec mon médecin traitant pour avoir son diagnostic, j’ai envie aussi de rassembler par écrit ce que j’ai compris à ce jour de cette douleur.

 

J’observe que ces temps familiaux me nourrissent. Je vis en proximité physique, je suis touchée et je touche, je sens de l’attention, en mots et en gestes, j’entends souvent des gratitudes. Le « petitou » me regarde, me sourit, explore mon visage, mes mains, me tend les bras.

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Je redémarre aujourd’hui

Depuis ce matin, je pense à ce moment où je vais pouvoir me poser et écrire. J’observe que je fais mille choses insignifiantes mais urgentissimes, comme pour mériter de prendre ce temps pour moi.

Hier je partageais à une amie mon combat contre l’endormissement, l’absence à mon essentiel. Elle n’était pas en accord avec mes mots, et m’a donné les siens : j’entends que je n’abandonne pas, que je suis bloquée par mes résistances.

Oui, je valide. Je vois l’affrontement, le combat contre, mais contre quoi ? Qui résiste en moi, et à quoi ?

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Pourquoi j’écris ?

Depuis longtemps j’écris.

J’ai commencé à écrire pour « l’autre », souvent pour exprimer mon amour, ma gratitude, et parfois aussi ma colère.

Ensuite j’ai écrit pour transmettre. Transmettre la femme que j’étais.

À travers ma pratique professionnelle dans mon métier de formatrice.

Et pour mes expériences plus personnelles, j’ai ouvert ce blog, le 22 février 2018, jour de ma fête et d’un anniversaire plus intime.

J’ai posté hier le 30ème article. Et deux de plus ont été proposés par des amies proches.

 

Je crois que dans ces deux directions, j’étais animée par le besoin de laisser une trace de mon petit chemin, de témoigner de mes errances, et de me souvenir de mes bonheurs.

 

Aujourd’hui il me semble que j’ai un autre angle à découvrir… Pour me découvrir.

Retirer ce derrière quoi je me cache, pour explorer le cœur de moi, et retrouver l’innocence de me dire, entièrement.

A très bientôt…

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Ma place en présent ?

Me projeter dans un futur différent, plus doux, plus joyeux, plus vivant, m’éloigne de la conscience que je crée mon présent, et que la vie en moi sait exactement ce qu’elle fait.

Avec l’espoir, je pars dans le combat pour changer mon futur, considérant que le présent est inabouti, et je m’épuise…

 

Au quotidien je retrouve mes rancœurs, une tristesse latente, des ombres de culpabilité, quelques aigreurs, des larmes, des pointes de colère, et quelques peurs pas toujours définies.

Le lien entre tout ça ? Trouver ma place, celle où je suis en paix.

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Pause alimentaire et après ?

Je reviens vous raconter ma dernière pause alimentaire, et les changements qu’elle impulse.

 

C’est la première fois que je fais un jeûne de sept jours complets. J’ai envie d’un grand nettoyage, et je démarre une détoxification avec des plantes.

 

Je commence par un thé au réveil, et ensuite de l’eau et des tisanes au fil de la journée. Et si le besoin de croquer arrive, je prends 20g de cacahuètes ou de tomme de brebis.

 

Chaque jour je marche, entre 3 et 6 kms. Souvent avec une amie qui elle prenait des jus de légumes et de fruits. C’était un soutien agréable d’être en chemin ensemble, d’échanger nos perceptions.

 

En démarrant cette expérience, je ne définis pas de durée, et chaque matin, en répondant à la question « comment je me sens ? », je décide de continuer, ou d’arrêter.

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Prise de conscience sur-prise de poids

Depuis le début de l’année, j’ai transformé mon ancien bureau en salle détente. C’est une petite pièce de moins de 10m2, avec une fenêtre allant jusqu’au sol, faisant face à un vieux cerisier. Je l’ai vidée entièrement de tous ses meubles, et de tout le contenu du placard. Mon intention était de trier, et de choisir consciemment ce que je voulais remettre ou pas dans ce nouvel espace.

 

Ce que je savais ? C’était un lieu pour moi, pour être en lien avec mon énergie, pour être en paix avec la femme que je suis. Un peu comme si, pour mieux écouter le mouvement qui nait dans mon ventre ces derniers mois, j’aménageais un cocon propice à son expansion, à son épanouissement.

 

Le dernier dossier papier à trier s’appelle « Poids, mesures, et autres variations ». Il est épais d’une quinzaine de centimètres. Il rassemble, des comptes rendues, analyses, mesures, et quelques notes sur ma relation à l’alimentation. Depuis 1997, j’avais 37ans, j’ai gardé la trace de mes montées sur la balance, et depuis une dizaine d’années, j’ai aussi les pourcentages masse grasse/masse musculaire. J’ai même des courbes… Sur papier je veux dire !

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Palier ou Pas liée?

Me voilà sur un palier, depuis quelques semaines, peut-être même quelques mois.

 

La définition du TLFI, Trésor de la Langue Française Informatisé ?

Une plate-forme située au sommet d’un escalier ou entre deux volées.

Il cite le palier de communication, sur lequel donnent plusieurs pièces ou plusieurs appartements. 

Et le palier de repos, un intermédiaire situé entre deux volées d’escalier, sans accès à des appartements.

Et au figuré, une période intermédiaire de stabilité, de répit. 

 

J’entends revenir les mots « plat, communication, repos, stabilité, répit »…. Je ne vis rien de tout ça.

Je me sens plutôt dans un arrêt, une attente, parfois même une absence.

 

Est-ce que je dois lire ce mot comme PAS LIÉE ? Où en suis-je du lien avec moi?

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Comment suis-je au monde, et avec vous?

J’ai regardé le documentaire « Mal Traités », et en suivant hier soir « Hold-up ».

Ce matin je me réveille avec les images de l’histoire de la grenouille bouillie devant les yeux, et une évidence : je suis cette grenouille.

Mon réflexe pour me donner l’impulsion de sortir du bocal c’est de vous écrire. C’est une façon pour moi de déposer mon vécu tout en faisant lien avec vous.